Accompagnement des troubles alimentaires

Une approche centrée sur le corps et l’histoire de chacun

Psychologue troubles alimentaires
Psychologue troubles alimentaires

Comprendre la relation à l’alimentation

Au-delà de l’assiette : entendre la souffrance.

Notre rapport à la nourriture est façonné par notre histoire, nos repères et nos blessures. Pour certaines personnes, s’alimenter devient une manière de gérer l’angoisse ou le vide.

Les troubles alimentaires parlent souvent du corps, de l’image de soi, des blessures d’attachement ou encore d’expériences traumatiques. Ils ne sont pas une simple “question de volonté”.

Le trouble alimentaire n’est pas un choix, c’est un moyen de protection.

Troubles alimentaires : mon approche thérapeutique

Je propose un accompagnement intégratif et trauma-informé, centré sur votre vécu corporel et relationnel.

Mon objectif est de vous aider à retrouver un sentiment de sécurité – dans le cœur et dans le corps – et non seulement à soulager les symptômes visibles.

Liens d’attachement : Explorer comment vos relations passées influencent aujourd’hui votre rapport au corps et à la nourriture.

Expériences traumatiques : Mettre en lumière les événements qui ont fragilisé votre sécurité intérieure.

Régulation émotionnelle : Trouver des ressources pour accueillir les émotions autrement que par le contrôle alimentaire.

Intégration corporelle : Se reconnecter aux sensations du corps, pas à pas grâce à la pleine conscience.

Je travaille systématiquement en collaboration avec des diététicien·ne·s spécialisé·e·s en TCA pour garantir une prise en charge adaptée. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans la FAQ ci-dessous.

Quelques questions sur les TCA

Que vous vous posez peut-être…

Je ne suis pas sûr d'avoir un TCA. Puis-je venir quand même ?

Oui, bien sûr. Il n’est pas nécessaire d’avoir un diagnostic pour consulter.

Une souffrance autour de la nourriture mérite d’être entendue, quel que soit son nom. Si ça prend de la place dans votre quotidien, c’est suffisant pour venir en parler.

Comment abordez-vous les TCA à travers le prisme de l’attachement ?

Nous travaillons à partir du prisme de l’attachement, pour comprendre et réparer les blessures d’attachement qui ont façonné votre rapport au corps et à la nourriture. J’intègre également des approches comme l’ACT, l’alimentation intuitive et des pratiques de pleine conscience, pour vous aider à revenir dans votre corps en douceur, à reconnaître vos besoins et à retrouver une relation plus apaisée à vous-même.

En savoir plus sur la théorie de l’attachement

Est-il vraiment possible de guérir d'un TCA ?

Oui, il est possible d’aller mieux et de retrouver un rapport apaisé à l’alimentation et à soi-même.
La guérison d’un TCA ne ressemble pas à une ligne droite. C’est un processus progressif fait de prises de conscience, de réajustements, de moments plus faciles et d’autres moins.

L’important est que peu à peu, la souffrance prenne moins de place et que vous puissiez retrouver plus de liberté et de douceur envers vous-même.

Est-ce que je dois avoir un suivi médical en parallèle ?

Pour assurer l’efficacité de la thérapie, je travaille uniquement avec les patients qui acceptent – à minima – de suivre en parallèle un accompagnement avec un.e diététicien.ne spécialisé.e dans les TCA. Cette exigence n’est pas arbitraire : les recherches montrent que les TCA se maintiennent en grande partie en raison de facteurs physiologiques liés à la dénutrition ou aux déséquilibres alimentaires. Sans aborder ces aspects, la thérapie psychologique seule reste souvent insuffisante. Je peux vous recommander des professionnel.les qualifié.es avec qui je collabore régulièrement pour vous offrir un accompagnement complet et coordonné.

Les TCA touchent-ils uniquement les femmes ?

Non, les TCA touchent des personnes de tous genres et de toutes origines ethniques et culturelles. De nombreuses personnes, quel que soit leur genre ou leur origine, souffrent de TCA mais peuvent présenter des symptômes différents ou avoir plus de difficultés à demander de l’aide en raison de stéréotypes persistants. Tout le monde mérite un accompagnement adapté à son expérience personnelle.

On peut consulter même si on n’a pas de diagnostic. Même si on doute. Même si on a déjà essayé d’autres formes d’aide.

Que vous soyez adolescent·e, adulte ou si vous vous inquiétez pour un·e proche concerné·e, vous pouvez franchir ce pas. Il n’est jamais trop tôt, ni trop tard.